vendredi 4 mai 2012

Arezzo, la bleue

Après Bologne la rouge, Arezzo la bleue. Ce bleu qui saute aux yeux, qui définit les coutours de la ville, qui surprend à chaque fois mais qui nous est aussi devenu très familier. Si Arezzo est la ville de Pétrarque, de Giorgio Vasari et de Roberto Benigni (bien qu'il soit né dans le village voisin de Castiglion Fiorentino), elle est un peu devenu aussi la nôtre après ce deuxième séjour. Nous y avons établi des liens beaucoup plus durables cette fois. 
Les dernières journées ont été l'occasion de revoir quelques églises marquantes de la ville, mais surtout de dire aurevoir à ceux qui sont devenus nos amis. Pour ce qui est de l'attachement à cet endroit, je pense avoir tout dit dans mon mot du 26 avril (On est d'où on se sent le mieux). Ce n'est pas la vie normale qui reprend, c'est la vie normale ailleurs.

En terminant, je tiens à féliciter l'heureux gagnant de la pizza gratuite en la personne de Blanche-Neige, pseudonyme qui cache un fin gourmet et un joyeux drille.