Il a profité d'un arrêt pour renouer avec les coquelicots, la chaleur qui exhude des pierres, le chant des criquets, les odeurs de la Toscane et ces oiseaux que je ne connais guère (sauf le coucou). Moi, j'ai l'impression que je suis un peu né pour faire du vélo en Italie, ou c'est peut-être la récompense du cycliste qui se tape les rues défoncées de Montréal et le vent omniprésent du bas-du-fleuve.
Demain, nous partons pour les Abruzzes, une des régions les plus vertes d'Europe. Le touriste devrait s'y faire assez rare.
Mon «terrain de chasse» habituel |
Bon voyage dans ce pays sauvage que je n'ai fait que traverser. Bonnes randonnées.
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