lundi 30 avril 2012

Épuisement professionnel

Quand, le même jour, on voit les tombes de Michel-Ange, de Galilée, de Machiavel, de Dante (plutôt un moment funéraire dans son cas), de Boticelli et d'Amerigo Vespucci, on a envie de garder un silence de tombe et l'énergie manque pour parler des innombrables chefs-d'oeuvre qu'on a pu voir.
Ce n'est pas le syndrome de Stendhal (Peut-on mourir d'art? a dit celui-ci), mais le syndrome de la mémoire qui flanche. Que restera-t-il dans six mois, dans un an de cette journée? De ces journées, devrais-je dire. Les cinq ou six dernières ont été surtout tournées vers l'art. Rockquiroule se cultive (il est cependant en train de lire un livre sur l'histoire du cyclisme italien - écrit par un certain John FOOT - question de rester bien en selle).

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