dimanche 20 février 2011

Qu'est-ce que je ferais pas?

Il a fallu que je me farcisse quelques dizaines de kilomètres par un petit matin frisquet de février pour faire plaisir à Olmo. Je lui dois bien ça, car il me permet de m'exercer à l'italien car, quand on pédale, il faut bien s'occuper l'esprit. Si j'avais un reproche à lui faire cependant, c'est d'être un peu poussif dans les montées. La semaine prochaine, que je lui ai dit, nous allons à Rocco.
Après deux sorties de vélo significatives, une visite à Pérouse et une autre aujourd'hui à Chiusi, où nous avons visité des tombes étrusques et un musée archéologique, c'est le temps de retourner au travail.

3 commentaires:

  1. Avec toutes tes activités et les promenades avec Olmo, quand est-ce que tu trouves le temps de travailler? La nuit pendant que tu dors?

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  2. En attendant que tu nous parles des Étrusques, j'évoque, pour nous faire patienter, cette perle à laquelle tu seras certainement sensible et que l'on doit à une touriste française écrivant à ses amies depuis Rome, dans les années soixante : «Aujourd'hui, nous sommes allés voir le tombeau de Virgile. Quelle drôle d'idée de l'avoir enterré si près d'une voie ferrée!».

    ;))

    Pardon?... Ah oui, tu as raison, Roch : pendant qu'elle y était, elle aurait pu écrire «cyprès».

    8((

    Buon pomeriggio!

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  3. En attendant d’ouvrir un compte sur Facebook… peut-être… je fais une incursion dans le monde moderne d’Internet et ses formidables possibilités. Un brin voyeuse sur le blogue depuis quelques jours, voici mon premier commentaire. Quel beau projet que vous avez là Roch et Nathalie! Je suivrai avec impatience les aventures du fougueux Olmo et de son infatigable cavalier ainsi que les commentaires de Nathalie parfois ponctués d’une chronique culinaire savamment déguisée. De la mozzarella di buffala au prosciutto fondant, en passant par les croissants aux artichauts… je veux tout savoir de ce que l’Italie vous mettra en bouche!

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