jeudi 11 avril 2013

La consolation des grands espaces

Ce titre n'est pas de moi et je n'ai pas besoin d'être consolé, mais ce sont les mots que j'avais en tête ce matin sur mon vélo, en direction de Castiglion Fiorentino, sur cette route en lacets où j'aime tant me retrouver.
Pour quelqu'un qui est né où l'espace domine tout, c'est un besoin indispensable de retrouver cette dimension ailleurs, qu'elle soit d'eau, de forêt ou de terre.

Il y a dans ce paysage quelques cyprès et beaucoup d'oliviers. Le matin surtout, de petits panaches de fumée s'élèvent ça et là dans la campagne. Après l'émondage des oliviers, on fait brûler les branches. Ça crépite et ça sent la bonne boucane! Et quand on revient chez soi, c'est à des impressions comme celles-là auxquelles on pense. Des odeurs, une lumière, un son.

Près de 400 kilomètres en deux semaines pour Rockquiroule et sa fidèle monture. Un bon début de saison selon moi. 

1 commentaire:

  1. Soupir d'aise de retrouver la verve de Rock qui roule et soupir de regret de ne pas pouvoir être là-bas.

    RépondreSupprimer